Au contraire ! L’industrialisation du marché global est une réalité.

Tant au travers du cloud (IaaS, SaaS, PaaS) qu’avec l’adoption de référentielles qualités structurantes (CMMi, Itil, etc.) ou encore grâce aux méthodes agiles (Scrum, Kanban, XP) et à leurs différents prolongements (lean startup, DevOps, etc.).

La professionnalisation du marché favorise grandement l’offshore. La qualité et la fiabilité du travail dépendent des standards partagés et du cadre méthodologique appliqué, les nôtres ont été étudiés pour favoriser une bonne relation de travail avec l’étranger.

L’industrialisation des services nécessite également de s’outiller efficacement et de se protéger avec des serveurs sécurisés. Nous en sommes les premiers partisans.

Enfin, des solutions de management collaboratif sont mise en place depuis plusieurs années chez Eco-RH. L’équipe dirigeante est Belgo-Française et localisée physiquement sur site.

C’est le reproche le plus souvent évoqué. Le recrutement sur le marché des services ( Financiers, relation client, IT) explose en Europe.

Jusqu’à même se retrouver en pénurie sur certains secteurs . Ce marché est particulièrement dynamique alors que les prestations effectuées dans les pays à bas coûts pour des entreprises belges n’ont cessé d’augmenter.

Enfin, rappelons que l’externalisation crée de la valeur pour notre pays. Nombre de projets n’auraient pu voir le jour faute d’expertise ou de rentabilité économique sans l’offshore. Certains chantiers qui n’aboutissaient pas ont pu trouver une seconde vie en partant à l’étranger.

Depuis quelques années, nombre d’entreprises sont passées par l’externalisation uniquement pour réduire leurs coûts. Bien entendu, le tarif du jour/homme est largement inférieur mais il ne doit pas être le critère décisif et exclusif. Un tas d’autres raisons nous prouvent qu’il est bénéfique d’externaliser :

• Augmenter son agilité et son expertise. L’entreprise s’appuiera sur un très large choix de talents sans avoir à les gérer en interne.
• Gagner en réactivité sur le marché.
• Dédier des tâches plus en phase avec votre cœur de métier à votre propre personnel.
• Pour le prix, pas de mystère. Le salaire varie en fonction de la formation (universités, écoles d’ingénieurs), des compétences linguistiques requises, de l’expérience, etc.

À nouveau, faux ! Le choix de la Tunisie a été mûrement réfléchi par rapport à une série de critères essentiels tels que le fuseau horaire, la langue et la culture.

De plus, les différences culturelles s’estompent chaque jour un peu plus. Partout dans le monde, les gens parlent anglais, français (ou autres) et ont tendance à s’occidentaliser. Nous sommes tous sur Facebook et LinkedIn, nous nous informons tous sur les mêmes sites que nous soyons basés à Paris, Bruxelles, Sousse ou Pékin. Enfin, tous les détails ont été analysés et rien n’a été laissé au hasard : jours fériés, rites religieux, etc.

Nos collaborateurs sont décidés à réussir et ils savent que cela passe par l’international.